Effervesciences n° 81

La "médecine quantique" est devenue une tarte à la crême, très demandée, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment ésotériques, doctement théologiques, ou bien purement mercantiles. C'est facile, puisque tout le monde s'y perd ...
D'où l'intérêt d'un article bien réfléchi, pour tenter de définir le périmêtre de cette nouvelle donne, (euh, nouvelle, faut voir ...), et d'en assimiler le contenu le plus ... compréhensible, et surtout le plus utile ...
Alors je m'y suis collé, et vous aurez un pensum d'une vingtaine de pages, qui pour les premiers lecteurs, a tendance à provoquer des éloges ... chic alors.
Donc on commence par décrire le nanomicrocosme, celui qu'on ne peut qu'imaginer : la lumière, et tout ce que cette onde/particule est capable de provoquer au niveau d'un support pour l'instant jamais observé, même pas nommé.On pourrait l'appeller le substrat ...
Donc les particules, les différents champs qui les font interagir pour créer la matière.
Et puis cette matière, elle a une vie propre grâce aux liaisons chimiques, là on entre dans le domaine de la "science officielle", celle qui s'attache aux molécules ...
Et puis au milieu, l'eau, à la fois substrat, solvant et médiateur d'informations, c'est un élément essentiel pour induire et entretenir le vivant.
Quand on a compris comment s'organise la matière, sous tendue par des champs énergétiques ou informatifs, on peut émettre un jugement sur les "médecines quantiques" qui justement échappent à la mesure dite scientifique, purement pondérale et moléculaire.
Nous avons cité bien sûr l'homéopathie, l'acupuncture, mais aussi bien d'autres pratiques qui agissent sur les champs, et non pas sur la matière structurée.
On vous promet une lecture pleine d'enseignements, qui peut constituer un palier important de votre Savoir ...

Deux autres articles:
- la capacité de chats de nous soigner 
- et puis une heureuse surprise, ce médecin américain qui vient de publier ce qu'on savait déja (mais lui le prouve scientifiquement): le jeûne pratiqué par des cancéreux traités par des thérapies agressives (chimios, radiothérapies), leur permet de supporter bien mieux leurs traitements, avec des résultats complètemùent transformés.